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GOBLET (ou GOBELET) de BEAULIEU Jean-François

Né le 27 janvier 1753 à Quantilly, près de Bourges (Cher), décédé le 10 mai 1831 à Paris.

Fils de Léonard François Goblet (Les Aix-d’Angillon, Cher, 11/12/1725-16/8/1810 Quantilly), notaire royal à Quantilly, et de Catherine Lemerle (Vignoux-sur-Barangeon, Cher, 6/11/1728-26/11/1766 Quantilly), mariés le 22 septembre 1749 à Mehun-sur-Yèvre (Cher), remarié le 21 juillet 1767 à Quantilly à Marie Jeanne Mitterrand (? -13/11/1831 Quantilly).
Petit-fils de François Gobelet (Sancerre, Cher, 27/9/1688-9/11/1758 Quantilly), greffier de justice, et de Marie Anne Simon de Beaulieu (Lacroix-Saint-Ouen, Oise,3/8/1685-1/3/1769 Quantilly), mariés en 1725 à Compiègne ? (Oise). Petit-fils de Germain Lemerle, aubergiste (1705 ? –ap. 1749 ?), et de Jeanne Bien (Vignoux-sur-Barangeon 29/1/1708-13/12/1767 Mehun-sur-Yèvre), mariés le 1er août 1724 à Vignoux-sur-Barangeon (Cher, non numérisé).
Arrière-petit-fils de François Gobelet (Bastogne, Belgique, 20/6/1653-2/12/1693 Sancerre), et de Marie Mercier (Quantilly 23/8/1653-23/6/1728 Quantilly), mariés le 29 novembre 1687 à Quantilly. Arrière-petit-fils de Pierre Simon de Beaulieu, garde chasse, et de Marie Castellot, mariés avant 1685. Arrière-petit-fils d’Etienne Lemerle (1671 ? -8/1/1772 Mehun-sur-Yèvre), boulanger, puis aubergiste, et de Catherine Brouard (Vierzon, Cher, 13/6/1673-20/1/1718 Theillay), mariés le 23 février 1699 à Theillay (Loir-et-Cher), remarié le 26 avril 1718 à Theillay à Marie Rousseau. Arrière-petit-fils de Jean Bien (Culan, Cher, 19/9/1665-27/12/1707 Vignoux-sur-Barangeon), concièerge puis notaire au château de Bourdelles, et d’Anne Guillaume (Vignoux-sur-Barangeon 7/3/1671-20/10/1729 Vignoux-sur-Barangeon), mariés le 8 février 1695 à Vignoux-sur-Barangeon.
Épouse en premières noces le 3 août 1781 à Paris Françoise Jeanne Marie Delahante (? -25/2/1789 Paris), fille de Pierre Delahante (? -11 nivôse an VIII, 1/1/1800 Paris), premier commis à la Régie des domaines de Flandre, commissaire de la section du Palais-Royal, et de Françoise Elizabeth Durry (ou Ourry).
Epouse en secondes noces le 24 décembre 1792 à Paris Henriette Louise Landrin (1773 ? -13/10/1823 Paris), fille de Louis Mathieu Landrin (? -28/12/1792 Charenton-le-Pont, Val-de-Marne ?), commis aux douanes, sous-directeur des fermes, et de Françoise Ricard (? -1815 Paris), mariés avant 1773, séparés de biens en 1778.
Epouse en troisièmes noces le 29 pluviôse an III, 17 février 1795 à Paris Marie Jeanne Fuzy (Paris 24/11/1777-2/3/1852 Paris 10ème ancien), fille de Louis Charles Fuzy (Paris 24/10/1746-27/2/1832 Paris 10ème ancien), soldat aux Gardes Françaises en 1762, capitaine à l’armée du Rhin en 1792, adjudant supérieur de la Garde des Consuls en 1800, puis à la Garde Impériale, colonel en 1809, adjoint à l’Etat-major général de la Maison militaire de l’Empereur, commandeur de la Légion d’honneur en 1804, chevalier de Saint-Louis, et de Marie Anne Trognon ( ? –ap. 1801-av. 1832 ?), mariés le 19 juin 1774 à Paris.
Petite-fille de Nicolas Fuzy (Paris 1720- ?), metteur en œuvre, et de Marguerite Charlotte Gilles, mariés en 1742 à Paris.
Arrière-petite-fille de Pierre Fuzy (? –ap. 1742 ?) et de Catherine Fillon (? –ap. 1742 ?), mariés avant 1720.
Père (du troisième mariage) de Louise Catherine Athalie (Paris 9/8/1812-ap. 1886), mariée le 5 décembre 1833 à Paris (10ème ancien) au peintre d’histoire Jules Uzanne (1815 ? -8/10/1895 Boulogne-Billancourt, Hauts-de-Seine), élève d’Ingres, membre de l’association des artistes musiciens, président de la société de secours mutuel du quartier Saint-Thomas d’Aquin.

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Clerc de notaire à Paris, commis à la Trésorerie des bâtiments du roi de 1771 à 1788, chef du bureau des bâtiments au Trésor royal en 1788, chef du bureau à la Trésorerie de la liste civile en 1790, employé dans les bureaux de comptabilité du ministère des contributions publiques le 11 août 1792. Préposé à la liquidation de la Liste civile de 1792 à 1795 ; inspecteur des bâtiments nationaux en 1795-1796. Calculateur au Bureau de comptabilité le 20 septembre 1796, vérificateur à la Commission de la comptabilité en octobre 1797.

Référendaire de 2ème classe à la création de la Cour le 28 septembre 1807, signalé comme gendre du colonel Fusil (sic). Confirmé dans ses fonctions par ordonnance royale du 27 février 1815, honoraire le 4 juillet 1821.

Barbé-Marbois note en 1808 : « La protection seule l'a fait nommer ; il est très peu utile à nos travaux. »

Domiciles : 11, rue de Bagneux (rue Jean-Ferrandi, 6ème), 36, rue du Dragon (6ème).

Tombeau au cimetière Montparnasse.