LEROUX François
Né le 10 janvier 1792 à Paris, paroisse Saint-Nicolas des Champs, décédé le 10 décembre 1832 à Paris (9ème ancien).
Fils de François Louis Leroux (? -ap. 1820 Saint-Hilaire-les-Andresis, Loiret ?), greffier des audiences du Chatelet de Paris, et d’Edmée Julie Depenne (Paris 1768-20 germinal an XI, 10/4/1803 Paris 6ème ancien), mariés le 25 mars 1789 à Paris.
Petit-fils de Jean Baptiste Depenne (1730 ? –9/12/1792 Paris), maître en chirurgie, et d’Anne Suzanne Desiftaux (Paris 1744 ? -1786 Paris), mariés en juin 1762 à Paris.
Arrière-petite-fils de Dominique Depenne, bourgeois (?), et de Catherine Duvigneaux, mariés avant 1744. Arrière-petit-fils de Marc Desiftaux (? –av. 1762 ?), maître charpentier, et de Marguerite Anne Buron, mariés le 18 décembre 1742.
Neveu de Louis Nicolas Leroux (1755-1841 ou 1842), conseiller référendaire (voir notice).
Épouse le 15 avril 1820 à Paris Rose Charié (Paris 9 vendémiaire an VIII, 1/10/1799-ap. 1833 Joigny ?), fille d’Antoine Marie Charié (Joigny, paroisse Saint-Jean, Yonne, 1/4/1760-7/7/1819 Auxerre, Yonne), receveur des droits de l’enregistrement, puis inspecteur des Domaines impériaux, et de Rose Gillet de La Jacqueminière (Joigny, paroisse Saint-Thibault, 7/2/1780-5/3/1843 Joigny), mariés le 30 frimaire an VII, 20 décembre 1798 à Joigny.
Petite-fille de Jean Baptiste Nicolas Charié (1718-6 ventôse an XIII, 28/2/1805 Joigny), marchand de vins, et d’Elisabeth Catherine Fernel (Brienon-l’Archevêque (Brienon-sur-Armançon), Yonne, 9/4/1726-2 vendémiaire an IV, 24/9/1795 Joigny), mariés avant 1750. Petite-fille de Louis Charles Gillet de la Jacqueminière (Saint-Julien-du-Sault, Yonne 21/11/1752-7/4/1836 Paris (1er ancien), conseiller maître (voir notice), et de Claude Rosalie Hardoin de la Reynerie (1753 ? -20/1/1788 Joigny, paroisse Saint-Thibault), mariés le 27 février 1775 à Joigny, paroisse Saint-Thibault.
Arrière-petite-fille de Jean Baptiste Charié et de Nicole Hay, mariés avant 1718. Arrière-petite-fille de Pierre Fernel (Seignelay, Yonne, 1696 ? -23/10/1778 Brienon-l’Archevêque), marchand de bois, maire de Brienon, et d’Edmée Natté ou Nattey (1699 ? -9/3/1779 Brienon-l’Archevêque), mariés avant 1724. Arrière-petite-fille de Louis Jacques Gillet de la Jacqueminière (? -av. 1775 ?), conseiller du roi dans l’élection de Joigny, et de Jeanne Garnier (? –av. 1775 ?), mariés avant 1752. Arrière-petite-fille de Claude Hardoin de la Reynerie (1698 ? –av. 1775 ?), avocat en Parlement et procureur fiscal du comté de Joigny, et de Marie Louise Lequeux (1714 ? –28/9/1777 Joigny, paroisse Saint-Thibault), mariés le 9 mars 1734 à Joigny, paroisse Saint-Thibault.
Quatre enfants : Louise Amélie (Paris 13/12/1822- ?), Adélaïde Louise (Paris 1/12/1823- ?), Claire Thérèse (Paris 15/12/1824- ?), Jules Charles.
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Ancien commissaire-priseur. Franc-maçon affilié à la loge « Les admirateurs d’Osiris » et à celle de « Sainte-Thérèse des amis de la constance » à Paris en 1819.
Conseiller référendaire de 2ème classe le 31 août 1828. Décédé en fonctions.
Sa veuve perçoit, par ordonnance royale du 8 juin 1833, une pension annuelle de six cent quatorze francs, compte tenu du traitement moyen de sept mille trois cent soixante et un francs de son mari, décédé à la suite d’une maladie qui « a pris naissance dans un excès de travail », et « qu’elle est sans moyen d’existence avec quatre enfants en bas âge ».
Domicile : 25, quai Bourbon (4ème).
Officier de la Légion d'honneur.